Kalachakra Info

Février / mars 2024
spécial pélerinage à bodhgaya

Paroles de Maîtres, Sa Sainteté le Dalaï-Lama

"En cultivant la bodhicitta, vous développez de plus en plus de paix dans votre esprit"

L'enseignement suivant est un extrait de l'introduction à l'initiation de Manjoushri, conférée par Sa Sainteté le 31 décembre dernier à Bodhgaya. Arrangements et traduction par Franck. Photo : (c)The office of HHDL


“Quand vous dites, “je prends refuge dans le Bouddha” et si vous réfléchissez bien au sens, vous comprenez qu’il est possible de dépasser toutes les souillures, toutes les négativités qui se trouvent dans l’esprit, et de parcourir le chemin vers la réalisation. Le Bouddha a dit que vous êtes votre propre maitre, votre propre protecteur.  En vous appliquant à parcourir le chemin réalisant la réalité de toute chose, vous devenez capable de vaincre toutes les négativités et atteindre la vraie cessation [de la souffrance , ajout du traducteur ]. La vraie cessation est atteinte par la pratique, grâce à la compréhension et le développement de la vision profonde de la réalité. C’est de cette manière que vous pouvez comprendre que vous êtes votre propre maitre. 


Au sein des religions théistes, on enseigne différemment ; toutefois leur enseignement est très bon dans le sens où ils aident leurs pratiquants. Mais dans les enseignements de la tradition du Bouddha, il est dit que vous êtes votre propre maître, car vous devez travaillez dur pour dépasser toutes les souillures et atteindre la vision profonde de la nature des phénomènes, et personne ne peut le faire à votre place.  


Nous sommes actuellement rassemblés dans cet endroit très sacré de Vajrasana. Si vous réfléchissez profondément, vous verrez à quel point l’enseignement du Bouddha sur le fait que vous êtes votre propre maitre est puissant. Il a dit que ce que vous allez devenir à l’avenir est entre vos mains. Votre avenir ne se trouve pas entre les mains de quelqu’un d’autre, qui pourrait vous amener à l’Éveil et venir à bout de toutes les négativités de votre esprit. C’est un enseignement très important du Bouddha. 


Le Bouddha a dit qu’aucun dieu séparé de nous ne nous a créés, mais que c’est à cause de notre esprit indiscipliné, incontrôlé que nous perpétuons le samsara et la souffrance. Vous devez donc comprendre l’origine de la souffrance et ses antidotes, qu’il existe une possibilité de dépasser la souffrance et ses causes. En appliquant les antidotes, vous pourrez actualiser l’état dans lequel ont été purifiées toutes les souillures dans l’esprit. En intégrant les enseignements en moi-même, je peux voir qu’il est possible de dépasser les négativités et d’atteindre la vraie cessation. En vous basant sur les fondations de la pratique du dharma, le vinaya, la discipline éthique, vous créez les bases de la concentration en un point. Avec l’aide de la concentration, vous pourrez développer la sagesse de la vision de la réalité telle qu’elle est. Et avec cette sagesse, vous pourrez atteindre, par vous même, la vraie cessation. Et personne d’autre ne peut le faire pour vous.


Vous pouvez voir que les enseignements du Bouddha sont raisonnables, logiques. Et vous devriez être fiers d’avoir rencontré cette tradition. Vous ne devez pas penser que vous faites tout ceci pour vous uniquement, mais que vous apportez le bien-être à tous les êtres sensibles, avec l’esprit d’Éveil en vous, la bodhicitta. Vous générez donc cet encouragement significatif, vous créez en vous une inspiration, née de la bodhicitta. Les enseignements du Bouddha se fondent sur cette attitude altruiste, celle d’être bénéfique à tous les êtres sensibles. Quand vous développez la bodhicitta, que vous pensez à apporter le bien-être à tous les êtres, vous développez une force intérieure, une confiance en vous, orientée vers les intérêts supérieurs de tous. En générant le suprême esprit d’Éveil, vous invitez tous les êtres au bonheur de l’Éveil. 


Les pratiques de bodhisattva apportent beaucoup de bienfaits. Pour apporter des bienfaits et favoriser d’excellents fruits à tous les êtres sensibles, nous devons nous encourager à développer en nous la bodhicitta. En ce qui me concerne, dès que je me réveille le matin, je récite les vers du refuge et de la bodhicitta, je génère l’esprit d’Éveil en moi même. Ceci me donne une forte détermination, ainsi que du courage, pour travailler pour les autres. La bodhicitta est ma principale pratique, et je vous encourage à ce qu’elle soit la vôtre également. C’est aussi l’essence des enseignements du Bouddha. 


Il n’existe pas de plus grande force que l’esprit d’Éveil pour votre propre santé physique et mentale. En développant toujours davantage la bodhicitta, vous développez de plus en plus de paix dans votre esprit. En retour, cela harmonise les éléments constitutifs de votre corps physique et favorise l’équilibre émotionnel. Le bon cœur généré par l’esprit d’Éveil contribue à la sérénité autant qu’à la santé, alors que si vous vous laissez emporter par l’attachement, la colère et la haine, votre équilibre mental est dérangé, et ceci est aussi néfaste pour votre santé. La bodhicitta est donc le principal facteur pour générer un état d’esprit détendu, pacifié.


Quand je récite les vers pour générer la bodhicitta [ comme “Par ma pratique de la générosité et des autres perfections, puissé-je devenir un Bouddha, afin d’être bénéfique aux êtres” ], cela m’aide beaucoup à obtenir la paix de l’esprit, de la détente, ainsi qu’une bonne santé. Et je vous invite, mes frères et sœurs du dharma, d’avoir un bon état d’esprit, tourné vers le bienfait des êtres sensibles. Ceci est très important, cela vous aide et aide autrui, cela est bénéfique à tous. Pour atteindre l’objectif le plus élevé, l’Éveil pour tous, la bodhicitta est fondamentale, et je vous invite à y réfléchir sérieusement."

Le billet de la directrice

"Les actions d'un pèlerin créent un nombre incroyable de vertus"

"Chers amis du dharma, 

Cette édition du Kalachakra Info est principalement dédiée au pèlerinage organisé par le centre en décembre dernier et qui nous a menés à Bodhgaya, Rajgir et Nalanda.

Le terme “pèlerinage” ne fait pas seulement référence à la visite d’endroits sacrés et la prise de photos touristiques. Le pèlerin part pour recevoir des bénédictions, écouter des enseignements de maitres spirituels, comme l'être réalisé qu’est Sa Sainteté le Dalaï-Lama, et faire des pratiques sur des lieux saints et sacrés. Toutes ces actions créent un nombre incroyable de vertus.

Au cours de ce voyage, nous avons pu remarquer à quel point notre esprit était serein et bienveillant. C’est ainsi que l’on peut comprendre la signification de ce qu’est la bénédiction, si nécessaire pour avancer sur la voie et achever les réalisations de la libération du samsara et de l’Éveil.

Joyeux Losar et excellente année du dragon de bois à tous !



Élisabeth"

une rétrospective du pèlerinage

"Le maitre-mot de ce pèlerinage a été : émotion !"

Entre le 25 décembre et le 6 janvier dernier, une quinzaine d'adhérents du centre sont partis en pèlerinage, du côté de Bodhgaya (Inde). Merci à Emmanuelle ainsi qu'à toutes les personnes (notamment Isabelle T. et Kathrine) qui ont contribué à cette rétrospective en pdf combinant témoignages, photos et entretien avec l'accompagnatrice Vén. Élisabeth.

  

Big Love - Morceaux choisis -  #29


Bilan médical et première visite en Australie

Chaque mois, nous vous proposons un extrait en français de "Big Love", la fameuse biographie de Lama Yéshé (Traduction par Michelle).

L'extrait suivant évoque notamment les extraordinaires capacités qu'a "Lama" de combattre sa maladie du cœur....

  

Lama Yéshé fait un bilan médical (p368)

Lama Yéshé et Lama Zopa Rinpoché [qui terminent leur première tournée aux USA] reviennent dans le Wisconsin où Guéshé Sopa [gourou de Lama], grâce à ses excellentes relations à l’université [où il enseigne] , a organisé pour Lama un examen médical thoracique. 

Voici le rapport de l’entretien d’admission :

“… le patient se souvient avoir eu enfant une fièvre prolongée mais il ne se souvient pas de l’âge auquel c’est arrivé. Il n’a eu aucun problème de santé jusqu’en 1966 où, s’apercevant que ses pieds et ses membres inférieurs étaient sérieusement enflés, il fut hospitalisé en Inde. Cela se reproduisit en 1970 où l’on enregistra en outre un rythme cardiaque très irrégulier. Le médecin en charge fit alors un pronostic de survie de deux ans. Le patient saigne du nez en cours d’exercice physique ou en cas de fatigue. C’est un moine bouddhiste tibétain de 38 ans bien développé et bien nourri qui n’est pas en détresse aigüe.“

Le rapport post-examen concluait :

“Compte-tenu des résultats cardiaques impressionnants, cet homme ayant sans conteste une sténose aortique hémodynamiquement significative, un remplacement valvulaire est indiqué. “

Guéshé Sopa (photo) dit à Lama d’accepter l’opération. Chuck Thomas, ex-étudiant californien de Kopan, qui aidait à Madison house, exprima à Lama les inquiétudes de tous le concernant. « Écoute Chuck, la seule raison pour laquelle je suis vivant, repose sur mes pouvoirs psychiques. Quand arrivera pour moi le temps de m’en aller (Lama claqua des doigts), ce sera comme ça. »

Lama Yéshé dit à Judy Weitzner qu’il pensait que pareille intervention chirurgicale détruirait les canaux subtils qu’il utilisait en méditation et que, s’il ne pouvait plus méditer, ce serait la fin pour lui. Il rajouta que son cœur s’était déjà arrêté bien des fois mais qu’il avait appris à le redémarrer par la méditation. 


Après les USA, première visite en Australie…

Le cours de la Vallée de diamant (p374)


Quelques témoignages

Une fermière du coin, Ilse Lederman , décida de suivre le cours. Lors de sa première rencontre avec Lama, il lui dit qu’il avait été une moniale dans sa vie précédente et qu’il avait une tendresse toute particulière pour les moniales. Ilse ne savait pas quoi faire de cela mais quelques années plus tard, elle fut ordonnée dans la tradition Théravada en tant que Ayya Khéma (photo). Elle écrivit de nombreux livres et devint l’une des nonnes bouddhistes les plus connues dans le monde.


Pete Northend de retour en Australie après un très long trip hippie et de gros problèmes à la frontière singapourienne du fait de ses cheveux longs, raconte… « Quand les lamas arrivèrent à Diamond Valley, Anila Ann me demanda de leur tirer de l’eau. Je n’avais pas vraiment envie de les voir parce que je savais qu’ils me tomberaient dessus tout de suite. Je m’approchai tout doucement de leur maison. Eh bien, Lama surgit comme l’éclair. «  Shinzo , comment s’est passé ton trip ? » demanda-t-il. Je lui dis que ça avait été super mais que j’avais eu des problèmes avec mes cheveux longs. « Tu as un problème d’attachement avec tes cheveux, je peux te résoudre ça très vite, je peux te les couper. » J’avais conscience de cet attachement et n’étais pas fier d’avoir menti à Singapour [ en disant que c’était pour raisons religieuses]. « Ok, coupez-les. » dis-je. Ce fut un vrai massacre. Cinq autres personnes, ce même jour, s’efforcèrent d’égaliser un peu les mèches restantes, au final, je n’avais plus de cheveux du tout et j’avais l’air complètement ridicule ! »


Les histoires d’amour qui empêchaient toute concentration, ne manquaient pas pendant les cours. Un étudiant qui avait déjà suivi plusieurs cours tomba raide dingue d’une fille. Un vrai coup de foudre au premier regard et il s’imagina tendrement qu’il en était de même pour elle. Incapable de se concentrer sur les enseignements de Rinpoché, il alla trouver Lama Yéshé. « Il écouta patiemment tandis que j’expliquais combien parfaite, télépathique et magique était ma relation à cette fille. Et il dit : « Là maintenant, dear , ton esprit est halluciné à cent pour cent. Il en est de même pour elle. » Et il tapa le revêtement en polystyrène du mur. « Vous êtes hallucinés à cent pour cent » J’étais contrarié et me levai pour partir. Mais tout à coup, il sauta de son lit, me cloua sur la chaise, et saisissant mon épaule de sa main droite, il me fit face, marmonnant et soufflant sur le sommet de ma tête tout en me frottant vigoureusement la colonne vertébrale de sa main gauche. Et ça a marché parce que toutes mes pensées perturbantes à propos de cette fille se sont juste volatilisées. Je fus capable de les suspendre jusqu‘à la fin du cours. »


Pete Nelson avait 19 ans quand il arriva à Diamond Valley. « Une nuit, j’avais un entretien programmé avec Lama Yéshé. Pendant que j’attendais, il se mit à pleuvoir, je me glissai donc sous leur petite cabane (photo) pour me mettre à l’abri. Je pouvais entendre Lama Yéshé marcher au-dessus de moi. De la chambre de Lama Zopa, j’entendais juste le bruit du mala qui grattait le sol tandis qu’il récitait ses mantras. Lors du premier enseignement de Rinpoché, j’avais éclaté en sanglots, je rampai donc pour m’installer juste en-dessous du son du mala et imaginai que sa bénédiction me pénétrait par le sommet de ma tête. Je m’enfuis quand les fourmis commencèrent à me mordre.

Une porte s’ouvrit et Lama Zopa m’invita dans sa chambre qui était dans le noir complet. Il s’assit simplement et me tint la main pendant les vingt minutes où je pleurai.

Quand le visiteur de Lama Yéshé s’en alla, il vint dans la chambre de Rinpoché et de sa façon charmante, il dit : « Tu voulais me voir, dear  ? » J’avais deux questions : quelle est la différence entre Bouddha et Shiva ? « Aucune », dit-il. Et comment puis-je trouver mon gourou ? Il ouvrit grand les yeux : «  Dear , ne le sais-tu pas ? C’est Lama Zopa, ton gourou. »

   Mars au centre Kalachakra


Retrouvez ci-dessous le tableau du programme de mars,
puis les suggestions d'Arnaud concernant les évènements marquants.

 

Nous commençons le nouveau programme mars-août en beauté avec plusieurs nouveaux programmes et événements à ne pas manquer :

 


Rencontre avec  Isabelle Tiberi


"Le pélerinage était fabuleux. Je n'ai pas de mots assez forts"
Isabelle est étudiante de "Découverte du bouddhisme". Propos recueillis par Arnaud.

 

- Qu’est-ce qui t’a amené au centre ?


- J’ai commencé à pratiquer la méditation pendant le covid à l’aide d’applications. Très vite, c’est devenu une habitude et un besoin. J’ai pratiqué comme ça pendant deux ans. Plus jeune, je m’intéressais déjà au bouddhisme. J’étais fascinée par Alexandra David Néel. J’étais aussi très attirée par le Tibet, le Népal, et plus largement l’Asie. 


Je suis allée plusieurs fois en Thaïlande. J’aimais bien rentrer dans les temples mais je n’ai jamais poussé plus loin. Après mes débuts dans la méditation, j’ai voulu en savoir plus sur le bouddhisme. En cherchant sur internet, j’ai trouvé plusieurs centres et c’est le site du centre Kalachakra qui m’a donné le plus envie de venir.


J’ai eu beaucoup de chance, car il y avait un cycle de “Découverte du bouddhisme” qui démarrait une semaine plus tard. Le timing était parfait. J’ai appelé et j’ai eu Katarzina qui m’a accueilli de manière très chaleureuse (« On t’attend »). Ça m'a beaucoup touché. 


Le premier jour de DB, il y avait beaucoup de monde. J’étais surprise par ce moine très jeune à qui on montrait du respect. J’ai compris plus tard pourquoi. La première journée a été fabuleuse. J’avais l’impression d’avoir trouvé un endroit où j’étais naturellement à l’aise, où je pouvais être moi sans effort. Un endroit très chaleureux. Comme une famille. A midi, j’étais intimidée et Vénérable Gyaltsen m’a proposé d’aller déjeuner avec le groupe et j’ai rencontré des gens très sympas. Cette première journée m’a vraiment bouleversée. Après le covid, c’était une immense bouffée d’oxygène. Tout ce qui avait disparu avec le covid revenait comme une grosse vague.


Après, je ne me suis plus posé de question. Je savais que j’allais continuer et peut-être même suivre un autre cycle de DB [le prochain cycle de DB débutera le samedi 28 septembre 2024].


- Est-ce que tu es impliquée dans d’autres activités ?


- Je pratique la méditation du matin de temps en temps. J’ai suivi aussi plusieurs retraites : celle sur la nature de Bouddha, celle sur la vacuité et celle sur le calme mental. Toutes les trois avec Vénérable Gyaltsen. Et aussi une sur la communication bienveillante avec François. 


Pour les vacances de février, je suis inscrite à la retraite de vipassana. J’ai suivi des journées d’introduction et ça va être une première pour moi.


Et la cerise sur le gâteau, ça a été le pèlerinage en Inde avec Vénérable Élisabeth. Je ne sais même pas comment en parler tellement c’était fabuleux. Je n’ai pas de mots assez forts. Je voyais toutes ces personnes qui venaient des quatre coins du monde pour rencontrer Sa Sainteté ou aller au temple de Mahabodhi. C’était une autre dimension. Il y avait tellement à voir, à expérimenter que parfois c’était difficile de méditer. 


Nous avons assisté aux enseignements de Sa Sainteté. Nous avons aussi été reçus par Ling Rinpoché que j’avais vu lors de l’initiation à Paris. Pour moi, c’était juste une bénédiction car je veux faire les choses dans l’ordre et je ne me sentais pas prête. Nous avons aussi vu le Ganden Tripa, un monsieur très âgé avec un regard extraordinaire et une bienveillance incroyable.


Nous sommes aussi allés au Root Institute [le centre FPMT à Bodhgaya]. Bodhgaya, c’est très bruyant, très pollué, mais là on rentre dans une bulle protégée, et pourtant ouverte et connectée à la ville.


- Et comment tu vois la suite ?

- J’ai envie de lire plus. Pendant les enseignements de Sa Sainteté à Bodhgaya, on était des milliers, certains très avancés, des lamas, et des gens tout nouveaux comme moi. Sa Sainteté s’adressait à tous en même temps et à chacun. Cela m’a boosté et donné envie d’aller plus loin, de découvrir les textes, les enseignements.


Je suis très reconnaissante vis-à-vis du centre, de toutes les personnes qui le font tourner. J’ai en particulier de la gratitude pour Vénérable Élisabeth, pour ce voyage en Inde qui a changé ma vie et pour Vénérable Gyaltsen qui me soutient dans la découverte du dharma. Je remercie tous les gens que je rencontre au centre et qui m’aident dans ma pratique par leur bienveillance et leur humour.


Séquence rétro : dans les archives du centre Kalachakra


Chaque mois, nous ressortons du grenier une photo qui nous rappelle de beaux moments.

  Nous vous proposons de découvrir en images quelques moments forts du pèlerinage à Bodhgaya.

La lettre de la fpmt